Sécrétion et rôle physiologique de l’ACTH

Sécrétion et rôle physiologique de l’ACTH

I.       INTRODUCTION.. 1

A.     Définition. 1

B.      Intérêt. 1

II.      METHODES D’ETUDES. 1

III.         STRUCTURE-SECRETION-DOSAGE. 1

A.     Structure de l’ACTH.. 1

B.      Métabolisme interm.. 1

C.      Dosage. 1

1.      Méthodes. 1

2.      Résultats. 1

IV.         REGULATION DE LA SECRETION.. 2

A.     La commande hypothalamique. 2

B.      La régulation de la sécrétion d’ACTH.. 2

1.      La régulation horm.. 2

2.      La régulation nerv. 2

V.     ROLE PHYSIOLOGIQUE. 2

A.     Actions surr. 2

1.      Action trophique. 2

2.      Action sur la stéroïdogénèse. 2

B.      Actions par l’interm des horm cortico-surr. 2

C.      Actions extra-surr. 3

VI.         APPLICATIONS PHYSIOPATHOLOGIQUES. 3

A.     Epreuves dynamiques. 3

·        Les tests de stimulation. 3

·        Les tests de freinage (hypercorticisme). 3

B.      Epreuves statiques. 3

C.      Applications ttt. 3

VII.        CONCLUSION.. 3

SECRETION ET ROLE PHYSIO DE LA CORTICOTROPHINE (ACTH)

I.            INTRODUCTION

A.     Définition

La corticotrophine,hormanté-hypophysaire, qui a pour rôle majeur de stimuler l’activité de la cortico-surr.

B.      Intérêt

Son influence dans le dév et l’activité de la glde thyroïde

II.            METHODES D’ETUDES

Expériences de stimulation et de destruction limitée

Emploi d’Ac anti-ACTH fluorescents

Surrenalectomiebilat

Hypophysectomie

III.            STRUCTURE-SECRETION-DOSAGE

A.     Structure de l’ACTH

C’est un polypeptide monocatenairede 39 AA

Les 24 premiers possèdent l’activité bio

Les 15 derniers lui confèrent sa spécificité Ag, base  des dosages radio-immuno.

Le synacthène, utilisée en thérapeutique, a la même activité que l’ACTH sans avoir la spécificité immuno.

Ses analogies structurales avec

d’une part l’α-MSH et le β-MSH justifient sa faible activité mélanotrope  et

d’autre part avec d’autres peptides comme lipotrophine

L’ACTH est sécrétée par les cellules corticotropes de l’adénohypophyse.

B.      Métabolisme interm

Taux plasmatique circulant très faible

L’ACTH a une demi-vie de 20 à 30 minutes

Catabolisme est mal connu

C.      Dosage

1.      Méthodes

Le dosage bio défini par le test de SAYERS basé dur la déplétion en Ac ascorbique de lasurr sous l’effet de l’ACTH

Le dosage radio-immuno : basé sur un phéno de compétition, ACTH non marqué déplace l’ACTH radio-active au niv des complexes Ag-Ac

2.      Résultats

Il existe un rythme circadien (avec une concentration maximale le matin et minimale le soir) qui s’établit dans l’enfance et conditionne le rythme nycthéméral du cortisol.

IV.            REGULATION DE LA SECRETION

A.     La commande hypothalamique

Les noyaux hypoth sécrètent, par neurocrinie, le CRF (corticotrophin-releasing-factor) avec ses 2 formes

α-CRF : agit sur la synthèse de l’ACTH et a une activité mélanotrope

β-CRF : agit sur la libération de l’ACTH

La vasopressine agit en synergie avec le CRF pour amplifier la sécrétion d’ACTH.

Le CRF contrôle et stimule alors la sécrétion d’ACTH au niv de l’antéhypophyse.

B.      La régulation de la sécrétion d’ACTH

1.      La régulation horm

L’ACTH libérée fav à son tour la production et la sécrétion du cortisol ainsi que celle des autres hormsurr stéroïdes (aldostérone, testostérone).

Le cortisol influence par rétrocontrôle (inhibe si en dose supra-physio) la sécrétion de l’ACTH

A l’étage hypophysaire, directement et par un mécanisme transcriptionnel,                                   

Et au niv de l’hypothalamus par l’interm du CRF

Il existe aussi un rétrocontrôle entre l’ACTH et le CRF 

2.      La régulation nerv

Elle est responsable du rythme circadien et de la sécrétion de cortisol lors du stress.

·         Rythme circadien : la sécrétion rythmique de l’ACTH dépend du lobe temporal et de l’aire prétectale, synchronisée sur les alternances de veille et de sommeil ou de lumière-obscurité.

        Sa sécrétion est cyclique indépendante des variations de la cortisolémie.

·         Sécrétion au cours du stress : différentes agressions(physique, psychologique, métab) sont perçues et intégrées au niv du SNC. Ce dernier par l’interm des neurones dopaminergiques, adrénergiques ou à sérotonine, stimule l’élaboration du CRF par neurocrinie. Ces différents médiateurs inhibent ou renforcent la sécrétion de CRF et d’ACTH donc du cortisol. Cette sécrétion observée au cours du stress, échape au rétrocontrôle négatif.

V.            ROLES PHYSIO

A.     Actions surr

1.      Action trophique

Atrophie surr : hypophysectomie, corticothérapies au long cours.

Hypertrophie cortico-surr :la maladie de CUSHING,l’hyperplasie pouvant s’accompagner de formation adénomateuse.

2.      Action sur la stéroïdogénèse

Son augmentation ou sa diminution provoque, respectivement, l’augmentation ou l’effondrement deshormsurr sauf de l’aldostérone.

B.      Actions par l’interm des horm cortico-surr

·         Agit essentiellement par l’interm du cortisol : elle estlipolytique, anti-anabolique et qui fav la néoglucogenèse protidique. Elle possède aussi des propriétés immunosuppressives, anti-allergiques et anti-inflam très utilisées.

·         Les androgènes régulent des caractères sexuels mâles et induisent, en forte quantité une virilisation chez la femme.

·         L’aldostérone est peu intéressée par la sécrétion d’ACTH physio.

C.      Actions extra-surr

·         Action mélanotrope

L’ACTH agit en communion avec l’α-MSH expliquantla mélanodermie au cours de l’hypersécrétion de l’ACTH (maladie d’ADDISON).

·         Action lipolytique

·         Action hypoglycémiante

·         Action sur le cortisol : prolonge la demi-vie du cortisol par action sur le métab hépatique du cortisol.

·         Action stimulante sur la synthèse des catécholamines

VI.            APPLICATIONS PHYSIOPATHOLOGIQUES

A.     Epreuves dynamiques

Le dosage de l’ACTH plasmatique par immunoradiométrie (insuffsurr)

·         Les tests de stimulation 

Hypoglycémie insulinique

Test à la métopirone (insuffcorticotrope)

Test à la CRH ovine synthétique

·         Les tests de freinage (hypercorticisme)

Test de freination rapide

Test de freination classique à faible dose, à forte dose

B.      Epreuves statiques

·         Cortisolémie

·         17 OH stéroïdes urinaires

C.      Applicationsttt

·         Insuff antéhypophysaire : ttt entre autre par du cortisol.

·         Insuffsurr : tttpar de l’hydrocortisone et la fludrocortisone en respectant le rythme circadien et les agressions.

·         Hypersécrétion d’ACTH :tttsur le plan médical par les anti-cortisoliques de synthèse.

CONCLUSION